On estime que l’incidence du syndrome de Noonan est de l’ordre d’une naissance sur 2000. Il peut s’observer sur plusieurs générations. Cela fait de la maladie une maladie « rare », tout en restant à la limite de la définition.
En effet, certaines RASopathies, telles que le syndrome cardio-facio-cutané (et les formes exceptionnelles apparentées) sont nettement moins communes, et quasiment toujours sporadiques. Leur incidence est alors inférieure à 1/20000 naissances.